Mme. Dambrine,
Je vous écris en réponse du l'article publié dans La Presse, le 6 mars 1991 qui s'appelle Fourrure et écologie. Avant tout, je me présente, je m’appelle Nicole Castro, je suis la directrice de la Société protectrice des animaux. Je suis en train de travailler là plus de 7 ans et nous avons aidé à beaucoup animaux qui sont en danger d’extinction parce que les gens comme toi ne se soucie pas. Je suis contre de ton opinion parce que premièrement tous les animaux sont des êtres vivants comme les humains. Ils sentent et ils ont l’opportunité de vivre.

Deuxièmement c’est vrai qu'il y a des animaux d’élevage pour utiliser se fourrure mais ce n’est pas juste que nous les tuons parce que ils ont la même opportunité de vivre que les animaux qui ne sont pas d’élevage. La nature est une chose que les hommes doivent prendre soin parce q'un fois qu'elle disparaït c'est pour toujours.

Troisièmement, comme tu peux voir, je travaille à la SPA et tu dit que il n’existe pas. La SPA n’est pas un mensonge, il aide les animaux, il fait beaucoup du choses pour les protéger. Par exemple nous avons fait des lois qui sont contre la chasse et aussi des publicités pour promouvoir la protection a les animaux.

Pour terminer il est important de préciser que si nous continuons de tuer les animaux pour se fourrure, nous allons arriver au un point ou ils vont rester très peu d'animaux et jusqu’ à ce point nous allons commencer à se préoccuper de ce problème mais il va être plus tard.

nicole